Principales applications cliniques de la SRM


Avec les progrès en terme faisabilité dans le cadre d’une pratique clinique, les indications de la SRM sont de plus en plus nombreuses. En SRM cérébrale, elle apporte des informations diagnostiques dans :

  • Les pathologies tumorales : choline, myo-inositol (gliomes), lipides libres (tumeur nécrotique : glioblastome, métastase…), alanine (méningiome), lactate
  • Les pathologies inflammatoires démyélinisantes : myo-inositol
  • Les pathologies infectieuses : acétate et acides aminés libres pour certains abcès, baisse du NAA et encéphalopathie VIH
  • Les pathologies métaboliques : myo-inositol et glutamine/ glutamate dans l’encéphalopathie hépatique, lactate et souffrance cérébrale diffuse
  • L’épilepsie, la maturation cérébrale et les maladies dégénératives…

Hors neurologie, la SRM se développe en imagerie ostéo-articulaire (muscles, moelle osseuse), prostatique (citrate et cancer de la prostate), mammaire (choline et cancer du sein), hépatique…