Matériel et logiciels requis en SRM


La SRM in vivo exploite un appareillage IRM quasi identique à celui utilisé en imagerie, en exigeant toutefois :

  • Un champ magnétique suffisamment puissant et très homogène, pour discerner les pics de résonance (au moins 1,5 T, shimming).
  • Des séquences spécifiques à l’acquisition du signal spectroscopique. Il existe deux types de SRM : soit la spectroscopie monovoxel (SVS : Single Voxel Spectroscopy) qui ne recueille le spectre que d’un seul voxel, soit l’imagerie spectroscopique (CSI : Chemical Shift Imaging) qui mesure les spectres en projection (1D), sur une coupe (2D) ou un volume (3D).
  • Des logiciels de traitement des données adaptés.
  • Pour la spectroscopie de noyaux autres que celui d’hydrogène, il est nécessaire de posséder une chaîne radiofréquence adaptée (à la fréquence de résonance du noyau étudié).